Besoin de calme

[i]Il faisait noir puisqu'il était maintenant près de minuit mais une lumière vacillante s'avançait dans les couloirs. Frederick s'était armé d'une bougie et se dirigeait vers la bibliothèque. Elle était grande et remplit de livre et donc d'évasion. Fred en avait bien besoin, sa journée avait été un enfer, il devait s'occuper de tout ici. Il avait acueillit quelques nouveaux voyageurs et fait les comptes en était perpétuellement dérangé par les membres de l'entretient de l'immense manoir. Il avait dut travailler très tard le soir sans vraiment manger comme il faut. Quand enfin il put prendre congé de son bureau il ne voulait plus du tout allez dormir, ou plutôt il savait qu'il ne trouverait le sommeil que bien plus tard. Il avait donc décider de se rendre dans la bibliothèque qui lui permettait souvent de s'évader. En entrant il trouva le chandelier et alluma les bougies ensuite il chercha un autre chandelier puisque celui-ci ne possedait que 2 branches nettement insufisante à s'éclairer convenablement.
Fred en trouva un à 6 branches et l'alluma à son tour. Il chercha ensuite un livre qu'il avait entamé une semaine plsu tôt et le trouva rapidement puisqu'il dépassait des étagères. Il s'en empara et s'installa dans un grand fauteuil en commençant à lire.
[libre]

[Désolé du retard chère Dorothy]

Fredérick était parfaitement dans l'histoire quand un bruit le fit sursauter. Il leva les yeux et chercha autour de lui, il ne vit pas tout de suite le livre alors il regarda derrière lui. Rien non plus. Lorsqu'il se repencha pour continuer sa lecture il vit un livre par terre. Il crut qu'il l'avait accroché en sortant le sien des étagère mais réalisa que ce n'était la même étagère. Il se leva donc pour ramasser le livre. Il le trouva un peu loin pour être tombé de l'étagère mais il savait que personne ne pouvait être entrer sans qu'il ne l'entende. Il rangea donc le livre et se redirigea vers son fauteuil. Frédérick eut l'impression que son livre n'était pas exactement à la même place mais n'y fit pas attention.

"Un peu plus et tu va commencer à croire à ces histoire de fantômes Fred."

C'est alors qu'il trouva une logique à cette histoire de livre, ce devait être un mécanisme installer par ses employés. Il ne se rappellait pas avoir prévue cela mais il y avait tellement d'attrapes dans ce manoir qu'il ne pouvait pas se rappeler de tous.

[je te laisse le choix de montrer ta présence ou pas]

Frederick continuait de lire mais une étrange impression l'empêchait de se concentrer. Comme si quelu'un essayait de lire par dessus son épaule. Il savait bien qu'il était seul mais c'était ce genre d'impression qu'il désirait créer pour les touristes. Puis cette sorte de présence disparut. Fred en fut soulagé bien qu'il se doutait que son esprit lui jouait des tours. Puis les mots dans son livres furent plus difficiles à lire. Les pages du livres était moins éclairée. Et l'éclairage revint. Frederick leva la tête vers le chandelier poser tout près de lui et remarqua que la flamme vascillait comme sous l'effet d'un courant d'air. Il voulut en avoir le coeur net et se dirigea vers les deux fenêtres de la bibliothèque. Il passa la main sur les rebord pour vérifier qu'il n'y ait pas de fissures. Non tout était bien isolé. Alors un frisson parcourut Frederick, une flamme ne vascille pas ainsi sans qu'il y ait un courant d'air tout près. Frederick se réapprocha de son fauteuil et fixa la flamme, elle continuait à danser alors il fit le tour de la table où elle était posé pour vérifier qu'il n'y ait aucun mécanisme à distance. Il ne trouva rien alors pilla sur l'impression d'être complètement cinglé et demanda à voix haute;

"Y a-t-il quelqu'un? Qui est là?"

Frederick allait traduire dans plusieures langues quand il pensa que ce serait inutile,une personne qui veux jouer un tour sait quels mots prononce celui qui se fait avoir, que se soit dans n'importe quelle langue. Il attendit donc la réponse.

Fredérick s'attendait à voir un des fils d'un employé sortir d'un coin et rire de lui mais il vit plutôt une petite fille qui apparrut derrière un fauteil. Fredérick sursauta ne comprenant pas comment elle avait put arriver là. Il allait lui adresser la parole pour la gronder quand il remarqua son étrange teint. En fait son manque de teint puisqu'il voyait à travers elle. Frederick fit trois pas en arrière pour s'éloigner de cette apparition. Puis la jeune fille disparut. Frederick sentit un frissons encore plus insistant que le dernier lui travers le corps de bas en haut. Puis il se résonna à haute voix.

"Voyons Fredérick tu est tout simplement fatigué, tu va aller te coucher et demain tu réalisera que c'était les rayons de la lunes qui donnaient cette impression."

Il se dirigea donc vers la porte mais arriver à deux pas de cette sortie il eut l'impression de devoir se retourner. Il resta pourtant là indécie à savoir s'il devait avancer ou reculer.

"C'est complètement idiot."

Pourtant il se retourna pour vérifier que la jeune fille n'était pas réaparut.

Lorsque Frederick se retourna, la petite fille était belle et bien là. Mais cette fois elle n’était pas accroupie derrière le fauteuil, mais elle était debout juste devant Frederick, vêtue d’une robe de nuit blanche ancienne. Ses cheveux blonds étaient détachée et touchaient à peine ses épaules. Elle sourit, d’un large sourire d’où s’échappa un rire d’enfant. Dorothy adorait rire. Elle riait toujours de son vivant. Toutefois, elle cessa de rire lorsqu’elle tomba malade. Elle souffrait beaucoup et fut d’ailleurs la première à mourir. Ensuite la contagion eut raison du reste des habitants du manoir.
Mais maintenant, Dorothy était simplement debout devant l’homme qui possédait maintenant le manoir. Elle s’approcha doucement de Frederick, celui qu’elle espionnait en cachette depuis quelques temps.
De son vivant, Dorothy avait appris à être polie avec ceux qui étaient plus vieux qu’elle, pour faire honneur à la famille Abberline. C’est pourquoi elle s’adressa de façon très courtoise avec Frederick.

Bonsoir Monsieur Beckett.

Dit-elle simplement. Elle souriait toujours à Frederick. Elle rigola en voyant son expression faciale.

Non monsieur, je ne suis pas le fruit de votre imagination. Je suis bien réèlle.

Elle avait encore son large sourire au visage. Elle y avait pensé plus d’une fois avant de révéler sa présence au jeune nouveau maître du manoir Abberline. Mais elle avait décidé de se montrer finalement.

Frederick fit se heurter à la jeune fille qui se tenait maintenat devant lui lorsqu'il se retourna... quoi que c'était un peu impossible. Donc il vit Dorothy en face de lui et s'inquièta de sa rapidité de mouvement. Lorsqu'elle le nomma Fred fit deux pas en arrière se demandant s'il ne devenait pas réellement fou. La petite fille semblait le remarqué puisqu'elle lui dit qu'elle était réelle. Le rire de la petite fille faisait penser à celui de sa soeur lorsqu'elle était plus petite mais Fred ne s'y attarda pas. Cherchant plutôt le moyen de se débarasser de l'apparition. Il plia donc les genoux pour se retrouver a la heuteur de l'enfant qu'il n'appréciait pas vraiment mais qu'il crut capable de lui rapporter plus d'argent. Il s'éfforça donc de "sourire" à la petite fille en lui demandant innoçament.

"Dis-moi quel est ton nom? Et comment cela fait-il que tu me connaisse?"

Il avait espoir que l'employé derrière tout ça se brouille dans ses mensonges et qu'il puisse le démasquer. C'était bien la seule raison possible à cette apparition.

[Désolé du retard j'étais prise avec le retour en classe]

Dorothy regarda Frederick avec un large sourire aux lèvres. Elle le trouvait plutôt amusant. Et la situation aussi d’ailleurs! Frederick se baissa pour être au niveau visuel de la petite fille. L’homme paraissait réfléchir et Dorothy n’appréciait pas du tout. Elle n’avait pas le pouvoir de lire dans les pensées des vivants, mais elle connaissait le nouveau propriétaire du manoir et savait qu’il n’était pas un saint. La fillette fronça les sourcils.

"Je n’aime pas du tout le jeu auquel vous jouez, monsieur."

Sa voix était douce, mais à la fois autoritaire. Il avait demandé son nom. Cela la fit sourire. Peut-être allait-il abandonner son plan s’il connaissait le nom de l’enfant qui se tenait devant elle.

"Je me nomme Abberline. Dorothy Abberline. Et si vous êtes au courant de l’histoire de la famille de cette demeure, vous savez donc que j’ai été la première à mourir d’une étrange maladie contagieuse. Et que personne n’y a échapper."

Dorothy avait toujours son beau sourire. Le sourire que quelqu’un aurait pour remonter le moral d’un personne triste. Excepté que Frederick n’était pas triste et que Dorothy n’essayait pas de le consoler.

Frederick ne souligna pas la menace de la petite fille. Il se fichait bien d'elle et savait qu'elle ne pourrait rien lui faire même si elle était réellement un fantome... Elle répondit à sa question et y ajouta quelques faits plutôt véridique sans que cela ne touche particulièrement Frederick. Il décida de croire à cette apparition mais en lui portant autant d'attention qu'à un enfant normal, c'est à dire très peu. Il sourit méchamment à Dorothy et tacha de la faire souffrir.

"Ça doit être dur pour une petite fille comme toi de savoir qu'elle a causé la mort de ses proches. Imagine si tu n'étais pas tombée malade ta maman et ton papa auraient vécut normalement. Vraiment je te plaint. Cela date d'il y a longtemps et donc c'est aussi de ta faute s'ils ne connaissent pas la paix du sommeil éternel... Dur fardot pour une enfant comme toi!"

Frederick était rester impassible et se réjouissait de l'expression de Dorothy, il avait réussit à toucher son coeur. Peut-être y penserait-elle plus d'une fois avant de revenir le voir... Ou peut-être pourrait-il s'amuser à la faire souffrir.